La Bretagne encore, le Finistère Sud toujours. Il y a quelque chose de très irrationnel à se sentir appartenir à un coin de terre auquel rien dans l’histoire de votre famille, même élargie ne vous rattache, un coin où l’on n’a jamais mis les pieds avant quarante-six ans et où tous séjours mis bout à bout on n’a pas dû passer trois mois. En même temps, si j’étais rationnelle, ça se saurait.
Un été au Guilvinec
samedi 7 août 2010. Lien permanent Le couvepenty de Kozlika › Le penty en photos