Pas de doute, je fais une fixette sur les carreaux de ciment et ni les mises en garde sur la difficulté d’entretien ni le prix exorbitant des carreaux eux-mêmes, de leur transport et des tarifs des poseurs spécialisés – sans parler de la difficulté à en trouver un – n’auront réussi à me décourager.

Bilan, un cinquième de la somme disponible pour les travaux va passer là et… m’en fiche, je vais avoir de beaux carreaux nananèreuh !

J’avais d’abord porté mon choix sur des carreaux unis de chez Emery, d’un joli bleu tendre, parmi lesquels nous aurions disposé aléatoirement quelques carreaux à motifs de grenouilles et papillons. Dans la boutique j’ai acheté un carreau de chaque couleur qui serait employée :

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Plus tard, dans le salon-véranda lorsqu’il serait construit, on placerait un tapis de carreaux au milieu du parquet avec des roses et des iris. La « calepineuse » d’Emery m’en dessina un comme ça (les couleurs des images roses et iris ne sont pas les bonnes, mais vous voyez l’idée) :

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Et puis de fournisseur en fournisseur, j’ai fini le week-end dernier par me rendre avec Franck et Claire aux Emaux de la Fontaine (les ateliers des Carrelages du Marais à Crécy-la-Chapelle). Le style est assez différent de ceux de chez Emery, plus début XXe, moins oriental. Et là je suis tombée en arrêt devant le carreau « Bastide rouge » à associer quatre par quatre et j’ai demandé un devis pour couvrir tout le sol du séjour-cuisine. Ouille, les motifs c’est un poil et demi plus cher que l’uni. Mais c’est rudement bô !

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A accompagner plus tard pour la véranda d’un tapis de ce motif entouré d’un rang de carreaux unis et d’une frise par exemple.

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Et j’ai donc tourné-viré entre ces deux options, les deux me plaisent beaucoup et sont finalement difficilement comparables… Puis finalement j’ai choisi : ça sera le « bastide ». Mais évidemment en bon âne de Buridan, maintenant que mon choix est fait, j’ai un doute !